Aviation : Le DG de l’ANAC distingué pour ses efforts.

Pour un pays enclavé comme le Niger les transports constituent un éliment fondamental à la survie de son économie. Tout commence par les transports. C’est fort de toutes ces considérations que le régime de la renaissance lui a consacré un regard tout particulier. Et pour la réalisation de ses actions la tâche a été confiée à Ahmed AYAHA.

A l’arrivée d’Issoufou MAHAMADOU au pouvoir le secteur des transports  était dans une léthargie telle qu’il pouvait à peine offrir le tiers de ses possibilités. Il fallait repenser une nouvelle stratégie et donner au secteur des transports toutes ses lettres de noblesse. C’est dans cette optique que des reformes tous azimuts ont été élaborées et mises en œuvre. L’objectif du programme de la renaissance étant, d’une part de réorganiser les missions assignées au ministère des transports dans le but d’améliorer significativement leurs actions et de l’autre faire du secteur des transports un levier solide de mobilisations des ressources financières pour le pays. En définitive, il s’agit pour l’équipe au pouvoir de favoriser l’émergence d’un secteur moderne, sécurisé, compétitif et répondant aux normes communautaires.

Afin de répondre au souci de désenclaver le territoire national, le ministère a entrepris un vaste programme de rénovation des aéroports du pays. Les aéroports régionaux ont été soit réhabilités ou entièrement rénovés. Cette tâche confiée à l’agence nigérienne de l’aviation civile (ANAC) a été menée avec brio et professionnalisme. Aujourd’hui, le Niger dispose des pistes d’atterrissage répondant aux nomes internationales au niveau de la plupart de ses régions phares. D’ailleurs le passage de l’aéroport d’Agadez et de celui de ZINDER sous la gestion ASECNA communautaire en est une illustration parfaite des efforts titanesques accomplis par le ministre KARIDIO MAHAMADOU ET L’EQUIPE DEVOUEE logée à L’ANAC. Un vieux projet de 15 ans que le régime de la renaissance vient ainsi de concrétiser.

Quant à l’aéroport international Diori Hamani du Niger son embellissement se passe de tout commentaire. Ses installations ont été entièrement reprises et rénovées lui conférant désormais  l’aspect d’un aéroport ultra moderne répondant en tout point de vue aux exigences des normes internationales. Les travaux  d’un cout global de plus de 100 milliards, ont consisté dans la rénovation des terminaux pour les passagers et le fret, l’extension des pistes et des parking d’avions et la reprise intégrale des circuits informatiques pour assurer la sécurité des avions à l’atterrissage, au parking et au décollage. Réalisée par la société SUMMA  là encore sous le contrôle et le suivi de l’ANAC, cette rénovation permettra sans aucun doute l’amélioration de la desserte aérienne de notre pays mais encore et surtout d’accroitre l’attractivité de Niamey et de rehausser ses capacités à organiser des rencontres internationales. En somme cette réhabilitation des infrastructures aéroportuaires rapprochera davantage le Niger du reste du monde.

Distingué pour service rendu à la nation lors de la nuit de la communication pour la bonne gouvernance, le directeur général de l’ANAC, très fier de cette reconnaissance, dédie cette distinction à l’ensemble du personnel de l’ANAC. Monsieur Ahmed AYAHA est expert spécialisé des systèmes de communication de navigation et de surveillance aérienne, superviseur général de la régie d’assistance en escale, administrateur de l’ASECNA, de l’autorité africaine et malgache, de l’unité de supervision de l’aviation civile de l’UEMOA. Sa nomination est donc amplement méritée. A ce jour le directeur général de l’ANAC qu’il est n’estime pas sa mission encore accomplie son vœux le plus cher : doter le pays d’une compagnie aérienne quelque soit la formule à adopter

Aujourd’hui force est de reconnaitre la pertinence des reformes entreprises du coté du ministère en charge des transports. Des reformes positives en tout point de vue. Non seulement elles ont permis de réorganiser un secteur stratégique longtemps mal structuré et mal employé par les régimes qui se sont succédés avant la renaissance mais en plus elles se révèlent être des véritables leviers de mobilisation des devises.

Cet article est publié dans le cadre des activités de l’Agence de communication Sud Contact en collaboration avec le Réseau des journalistes pour la qualité et la bonne gouvernance (REJOQ/BG)